Au mois de septembre, il est plus proche des normales saisonnières en termes de températures.
Les mois se suiran et ne se ressemblent pas. Avant d’aller plus longe, souvenirs-nous de ces mois d’été brûlants. Souvenons-nous de ces semaines de canicule, durant les séquences nous avions l’impression de vivre dans un autre pays. Une contrée située bien plus au sud, proche des 21° 27′ de latitude nord du tropique du Cancer. En effet, la valse du mercure dans les thermomètres, émises à l’extérieur, s’est transformée en danse tropicale endiablée. Les 40° C ont été dépassés, parfois dépassés.
Les quantités de gaz à effet de serre
L’eau de mer également réalisée dans la mutation tropicale. Les baigneurs frileux d’arrière-saison peuvent encore constater que la Méditerranée est encore largement baignable. Si le mois de septembre se termine en étant conforme aux normales saisonnières, il serait naïf de croire que le rehautement climatique aurait renoncé à revenir l’année prochaine nous rendre la vie difficile. D’autant que les quantités de gaz à effet de serre se sont remises à augmenter après la « pause » du confinement.