Après le sommet de l’OTAN, célébré à Madrid en juin dernier, la présidence espagnole de l’UE, au second semestre 2023, sera la grande vitrine de la projection internationale de Pedro Sánchez. Une période qui coïncidera également avec la célébration des élections générales, prévues pour les finales de l’année. Ce sera la cinquième fois que l’Espagne assumera cette responsabilité qui, avant Sánchez, avait en solo ostentado trois présidents (Felipe González à deux reprises, en 1989 et 1995 ; José María Aznar, en 2002 ; et José Luis Rodríguez Zapatero, en 2010). Cuando Sánchez se convierta en presidente de turno de la UE, el 1 de July de 2023, habrán pasado 13 años since que un jefe de Gobierno español lo fue por última vez.
A España le corresponderá organisar unas 2.000 reunions in Bruselas y Luxembourgo y será anfriona de más de 200 eventos en su propio territorio, según fuentes govermentales. Devant l’ampleur du défi, le gouvernement a créé en janvier dernier le Comité d’organisation de la Présidence espagnole de l’Union européenne, présidé par le ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares, et dont le secrétariat est assuré par le directeur du Bureau de coordination pour la présidence de l’UE, Aurora Mejía, de l’équipe de La Moncloa. El comité organizador ha elegido las 25 ciudades donde se celebrán encuentros de alto nivel ; repartiéndolas por todas las comunidades autónomas, salvo Ceuta y Melilla. Ya hay sede y fecha para 22 réunions de caractère ministériel, en attendant de concrétiser las citas de Albacete (donde se reunirá el Comité Político y de Seguridad de la UE), Tarragona y Donosti.
La Galice, le País Vasco, la Castille-La Manche et la Castille et León accueilleront chacune deux réunions de haut niveau et la Catalogne trois, mais l’Andalousie sera l’autonomie où la présidence espagnole sera plus présente, ainsi que trois réunions ministérielles (à Cadix, Córdoba et Séville), sera le siège du sommet informel des chefs d’État et de gouvernement. Nul ne connaît la date exacte, car sa convocation correspond au président du Conseil européen, Charles Michel, mais ce sera en octobre ou novembre, selon les sources consultées. Lo que sí se ha decidido es su emplazamiento: por deseo personal de Sánchez, se celebrára en la Alhambra de Granada. Le président, selon les mêmes sources, a cherché une scène emblématique qui projette internationalement l’image de l’Espagne —le complexe nazarí déclaré patrimoine de la humanidad por la Unesco—, puisqu’il a choisi le Museo del Prado pour le dîner des mandataires de l’OTAN.
La cumbre de la Alhambra sera probablement la photo de la présidence espagnole, mais pas plus important. Cette distinction correspondra au sommet entre les 27 chefs d’État et de gouvernement de l’UE et les 33 de la CELAC (Comunidad de Estados de América Latina y el Caribe). Ce sera la première fois que les mandats européen et latino-américain se réuniront depuis 2015, alors qu’ils devraient le faire tous les deux ans, ce qui témoigne de l’éloignement de l’UE d’une région considérée comme « la plus eurocompatible » au monde.
Sánchez ne sera pas l’hôte de cette rencontre, car il ne sera pas célébré en Espagne mais à Bruxelles, car le protagonisme correspond aux institutions communautaires. Pero lo copresidárá con Michel y, sobre todo, no lugar sin el impulso decisivo de España. L’UE a donné une bonne réponse à l’initiative et la diplomatie espagnole est confiante dans une réponse positive de l’Amérique latine.
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Le blocus de l’accord d’association entre l’UE et le Mercosur (le bloc économique formé par le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay, le Paraguay, le Venezuela et la Bolivie) et l’ensimismamiento de l’Europe pendant le long processus du Brexit ont fait rétrocéder le peso européen en Amérique latine a la vez que avanzaba la influence chinoise. Des sources diplomatiques assurent que la Commission européenne est consciente de la nécessité de récupérer les terres perdues et que le sommet ne se tiendra pas sous le mandat espagnol, car les pays qui seront les prochains à la présidence de l’UE, la Belgique et la Hongrie, tienen autres préférences.
La diplomatie española se está volcando en consegur que el major número de mandatarios latinoamericanos acudan a esta convocación : el tema está la la agenda de Albares y del propio Sánchez (que finales de Augusto hará una tour por la región), aunque la occasión para comprometer su assistance sera la réunion que les chanceliers de l’UE et de la CELAC célèbrent à Buenos Aires le 27 octobre et le sommet ibéro-américain de la République dominicaine, auquel assisteront le président du Gobierno et le roi, en mars de l’année prochaine , trois mois que commence la Presidencia española de la Unión.
Barcelone (qui accueillera en septembre une réunion informelle des titulaires des Transports) sera également le cadre, vers le 28 novembre — Journée de la Méditerranée — d’une nouvelle rencontre des ministres des Affaires étrangères de l’UE avec leurs homologues du Sud (Maroc, Algérie, Tunisie, Libye , Égypte, Israël, Palestine, Liban et Jordanie). Au cours de sa présidence, le Gobierno ha querido primar la recuperación de las relaciones con América Latina, pero sin descuidar a sus vecinos del sur del Mediterráneo aunque sea con una cita de rango lower (ministériel), según las fuentes consultadas.
Coïncidant avec le deuxième semestre de l’année, la présidence espagnole sera courte, puisque le mois d’août est jugé inefficace (seule une réunion ministérielle a été programmée à Tolède des titulaires de la Défense et des Extérieurs). Sin embargo, el Gobierno crie que estará llena de contenido, pues es la última presidencia completea de la actual Comisión Europea. Les élections au Parlement européen auront lieu en mai 2024, donc le Parlement européen se dissoudra en avril et l’équipe d’Ursula von der Leyen – dont l’espagnol José Borrell en tant que haut représentant pour la politique étrangère et la sécurité – devra aprovechar la presidencia española para impulsar los últimos proyectos que quiera sacar adelante antes de ceder el testigo a sus sucessores, ya en verano.
El próximo 1 de enero España se incorporará a la troïka de l’UE, avec la République tchèque, qui occupe actuellement la présidence, et la Suède, qui correspond entre janvier et juillet 2023. En ce moment, on peut vérifier, selon des sources diplomatiques, quelles sont les missions en attente pour l’Espagne semestre y qué posibilités tiene Madrid de football adelante sus propias priorités.
Aunque no se ha informed del presupuesto de la presidencia española, fuentes govermentales estiman que su coste estará más próximo al de las presidencias portuguesa o checa (40-60 milliones de euros) que al de la francesa (140). Otras fuentes señalan, sin embargo, que, una vez includios los gastos en seguridad, la cifra definitiva rondará los 100 milliones.
Immigration, énergie et Amérique latine, priorités du semestre
Parvenir à un pacte européen sur l’immigration et l’asile, progresser vers un marché énergétique unique et relancer les relations de l’Union avec l’Amérique latine sont les trois principaux objectifs de la présidence espagnole de l’UE, au second semestre de l’année prochaine. Ce sont les priorités que le Gobierno a marquées il y a dix mois que l’Espagne assume cette responsabilité, consciente de l’embargo que l’une des principales tâches du pays que la présidence de l’UE exerce est de faire face aux « entreprises noires » , sucesos imprevisatos e unplazables que le dan la vuelta a la agenda y alteran todas las previsions, como la pandemia en 2020 o la invasion de Ukraina en 2022.
« Aún es pronto para fijar priorities, mucho más en un escenario international volatil y cambiante como el que estamos viviendo, pero América Latina estará en el centro de nuestra presidencia, nous continuerons à faire des propositions pour ordonner le marché européen de l’énergie et la politique d’immigration et l’asile auront une réflexion sur notre programme », a expliqué le ministre des Affaires étrangères, José Manuel Albares, à EL PAÍS. « La présidence de l’UE », ajoute, « será otra occasión de demonstrar que los españoles somos capas de dar lo mejor de nosotros mismos ».
En matière d’énergie, le dernier objectif du gouvernement espagnol est le « marché européen unique », mais l’urgent est que « l’Europe ne revienne pas à une situation comme la situation actuelle », selon les mots d’Albares, devant les menaces de Poutine de couper la fourniture de gaz. Sobre immigración y asilo, se trata de poner en pie « una verdadera política común » que « consiga un equilibrio entre solidarity y seguridad ». Pour cette raison, il faut sortir du pacte de Dublin, qui consacre la responsabilité du pays pour l’accès du demandeur d’asile à l’UE, et arbitrer un système qui n’oblige pas à improviser à chaque fois qu’une crise survient, comme la crise des réfugiés. de las guerras de Syria o Ukraina, aseguran fuentes diplomáticas.
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