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Perpignan : une littérature partagée et méditerranéenne pour la société Mare Nostrum

L’association « Mare Nostrum – Une Méditerranée méditerranéenne » est née à l’automne 2020. Son objectif : valoriser le patrimoine culturel et littéraire de la Méditerranée, en honorant le dialogue interreligieux et la fraternité entre les communautés. Sa particularité réside dans son site Internet, disponible en 36 langues. Un an plus tard, force est de constater que plus de 300 revues d’ouvrages publiés et 320 000 pages ont été consultées.

Association de Volontariat, Mare Nostrum – Née en Méditerranée en Méditerranée. « Pendant la crise sanitaire, la culture a pris fin. Internet est l’outil le plus important pour le rendre vivant d’une autre manière, faites confiance à Jean-Jacques Bedu, son fondateur, secrétaire général des prix Mare Nostrum, et Michel Bolasell, l’un de ses chroniqueurs. D’autre part, ajoutent ces deux anciens membres du Centre de Littérature Méditerranéenne, on ne pouvait pas rester dans CML et le prix méditerranéen aujourd’hui entièrement au sein de la ville de Perpignan. Ce n’est cependant pas de la concurrence. Nos vecteurs sont différents ».

Mare Nostrum regroupe une trentaine de colibris. Leurs articles apparaissent sur le site Internet de la société au plus tard le jour de la sortie du livre. « Le volontariat génère une vraie liberté, dit Bolasell. Ce qui nous inspire, c’est l’amour de la littérature, le plaisir de la découverte et de l’écriture ». Si la société traite de l’actualité littéraire, elle couvre également une dizaine de thèmes (sciences humaines, philosophie, histoire, géopolitique, etc.) : « Nous sommes en train de transmettre, notamment en rendant accessibles des œuvres jugées difficiles ».

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A peine un an s’écoule et le rayonnement de Mare Nostrum dépasse largement les contours méditerranéens, s’étendant à l’Europe et au reste du monde :  » 10% de notre lien vient d’ailleurs aux États-Unis, souligne J.-J. Bedou. Nous ne nous attendions pas à un tel succès. Le retour des éditeurs est exceptionnel, en particulier des pigistes qui ne bénéficient généralement pas beaucoup d’une large couverture médiatique. Nous faisons également de notre mieux pour promouvoir des auteurs relativement secrets. La traduction de ronflements en 36 langues est particulièrement appréciée des professionnels. Nous sommes reconnus aujourd’hui ».

La société est dirigée par deux jeunes et brillantes Perpignanaises : la présidente est Éliane Bedu, 19 ans, étudiante en théologie et philosophie à l’université de Cambridge, et sa sœur, Morgane Bedu, 30 ans, est en charge du marketing, l’une des deux vice-présidentes. présidents.
« Notre métier n’est pas de présenter des auteurs, arsa J.-J. Bedou. D’autre part, nous coopérons avec la ville de Soler, dans le cadre des Rendez-vous de la connaissance et de la Fête de la science. Ainsi, le 23 novembre, nous recevons le polytechnicien Olivier Bonnassies, co-auteur de « Dieu, science, évidence ».

« Le prix du courage et de l’humour »

« La création d’un prix était indissociable de la création de la société. Un prix littéraire est une exposition et les auteurs ont besoin de ce soutien. « , dit J.-J. Bedou. Les premiers prix Mare Nostrum ont été décernés le 5 novembre à Imame Kahina Bahloul pour son essai Mon Islam, ma liberté (Ed. Albin-Michel) et Giulia Caminito pour son roman Un jour viendra (Ed. Gallmeister). Le jury a demandé la courtoisie « Les qualités littéraires et le courage de Kahina Bahloul pour plaider contre les éléments de base, conduisant à une grande spiritualité ». Quant au prix du roman, c’est une récompense« Le style exceptionnel d’un auteur connu uniquement en France a été finaliste du prix Strega en Italie, et distingue la première édition européenne de la Gallmeister House, qui n’avait jusqu’alors publié que de la littérature américaine. C’est un prix audacieux ». La dotation (6000 euros pour chaque lauréat) provient du mécénat d’entreprise.

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Infos : marenostrum.pm

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