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Le côté verdoyant, la plage, le climat… Les habitants de La Grande-Motte sont fiers de leur commune

Pourquoi aiment-ils leur commune ? Et pourquoi ne se verraient-ils pas vivre ailleurs ?

Sommaire

« L’élu Sergio De San felix, conseiller municipal en charge des associations

« Je suis arrivé en 1981 et j’ai travaillé pour Gaby Atlan dans une boutique de souvenirs. J’ai créé mes propres boutiques et j’ai investi dans des associations (commerçants, foot, carnaval, oursinades…). rejoint l’équipe municipale il y a huit ans et je suis chargé du lien avec les associations. Cela me passionne et me permet d’aimer chaque jour un peu plus cette ville qui m’accuillei il y a 41 ans. Mon credo : La Grande -Motte un jour, La Grande-Motte toujours ! »

Sergio De San Félix.
MIDI LIBRE

Les nouveaux arrivants, Marie-Christine et Daniel Guerin, retraités

« Nous nous sommes instàllet ici juste après le premier confinement. Une ville choisie car nous y étions venus plusieurs fois en vacances et nous avions apprécié la douceur de vivre de cette station. Et depuis que nous y vivons à l’année, c’est un bonheur journalier : le climat, la vie associative dans laquelle nous nous sommes pleinement investis. . »

Marie-Christine et Daniel Guérin.

Marie-Christine et Daniel Guérin.
MIDI LIBRE

L’associative Evelyne Sebeti, présidente de Mer et Mouvement

« La Grande-Motte est pour moi une oasis de paix et un lieu de création infini avec des personnes venues de différences horizons. Arrivée en 1970, j’ai créé l’association de danse « Mer et Mouvement » en 1984. 40 ans de danse où j’ai côtoyé des centaines d’enfants, ados et adultes et des créations de spectacles ouverts à tous. Je ne pourrai plus me passer de mon bain matinal en bord de mer. Cette ville m’apporte une énergie positive. »

Évelyne Sebeti.

Évelyne Sebeti.
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L’artiste Dany Méric, peintre

« Je suis arrivé en 1995 dans la ville que je connaissais pour avoir un traité franco-allemand avec un jumelage des villes du Sud de la France et de l’Allemagne. Ayant quitté l’Allemagne, je suis revenu ici Méditerranée et le Sud qui me manquaient. Cette ville est un musée à ciel ouvert, une source d’inspiration pour moi avec ce mélange des éléments : terre, mer, soleil. Comme j’aime à le dire, j’ai brûlé mes valises en arrivant pour ne plus en partir. »

Dany Merrick.

Dany Merrick.
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La sportive Valentine Vigne, professeur de tennis au Tennis-club

« J’habite à la Grande-Motte depuis huit ans maintenant et je ne partirai pour rien au monde. Ce que j’apprécie ici avant tout est la qualité de vie qui y règne. Le côte verdoyante de la ville, la plage à proximité , le fait de pouvoir se déplacer à vélo, le calme, le climat. C’est également une chance de pouvoir habiter à 2 minutes à pied de mon lieu de travail, le club de tennis où l’on retrouve verdure, grands espaces, un lieu magnifique où j’ai la chance d’exercer mon métier et ma passion : le tennis. »

Valentin Vigné.

Valentin Vigné.
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La commerçente Jocelyne Ouzillou, coiffeuse, La Compagnie des coiffeurs

« Il y a plus de 48 ans que je viens à La Grande-Motte, mes parents locataire un restaurant durant l’été. En 1990, à la retraite de mes parents, j’ai ouvert à la place un salon de coiffure et je me suis installé définitivement sur la ville. Je l’aime pour son harmonie architecturale, sa propreté. Depuis tant d’années, j’y ai tissé un relationnel important, tant au niveau professionnel que social et je me sens chaque jour un peu plus grand – devise. »

Jocelyne Ouzillou.

Jocelyne Ouzillou.
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L’ado Carla Richard, collégienne en 4e à Philippe-Lamour

« J’aime cette ville parce qu’il y a beaucoup d’animations pendant l’été et parce que depuis l’école maternelle je suis avec mes amis. De plus, je peux tout faire à vélo ce qui est génial. Cette ville est aussi une histoire de famille car ma grand-mère était directrice de l’école maternelle, il y a quelques années. Ma grand-mère et ma mère m’ont transmis le virus : j’aime vivre à La Grande-Motte. »

Carla Richard.

Carla Richard.
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L’entrepreneur Olivier Mazéas, entreprise Prodinox

« Je suis arrivé en 1992 de ma Bretagne, attiré par les rivages méditerranéens et je suis ancre à La Grande-Motte en raison de son port attractif. En 2002, j’ai créé mon entreprise spécialisée en accastillage inox. Cette ville m’a tout offert et je l’aime chaque jour un peu plus car j’y ai vu la naissance de mes quatre enfants, mon entreprise qui s’est bien développée notamment grâce aux chantiers Outremer et cette mer pour tout horizon. »

Olivier Mazéas.

Olivier Mazéas.
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Correspondant de Sandrine Crouzet

« Je suis arrivé en 1988, après avoir acheté un magasin de photos. Photographe attitrée de la mairie sous l’ère Couveinhes, j’ai pu ainsi connaître la ville, ses différentes structures, ses habitants et ses associations. Je me suis investie dans l ‘association des commerçants, pour l’organisation du Téléthon et dans des associations caritatives. En 2019, ayant arrêté mon activité, il m’a paru intéressant de prendre la correspondance de Midi Libre, car j’étais au fait de nombreuses activités et au contact de nombreuses associations. Et jusqu’à ce jour, cette activité me passionne par ses différences prismes que l’on peut faire lire aux lecteurs. »

Sandrine Crouzet.

Sandrine Crouzet.
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